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Le départ était prévu pour 8h30, mais
le car étant plein à 20,
Christian démarre. Y a plus d'vieux d'nos jours
!
8h50, c'est parti mais doucement car ça descend raide. Le
sentier au
fond des Gorges de Nouailles,
quoique j'en dise les mots seront trop
faibles, alors regardez simplement les photos qui parlent d'elles-mêmes.
9h30, nous sommes devant la
Source de la Loue, qui est en réalité une
résurgence du
Doubs.
Le retour par la rive opposée est encore plus joli.
Attention de ne pas glisser à
certains passages
et de faire... le
Grand Saut.
10h15, mini-pause biberon. Les heureux veinards en tête
aperçoivent par 2 fois un chamois qui finit par traverser la Loue.
10h30, la
vraie pause biberon
cette fois. Qui a vu la
Grotte de Nouailles ? Je
crois que tout le monde est passé devant sans la voir !
En sortie de cette grotte, les rochers moussus prouvent que ça doit bien
jaillir en cas d'orage. C'était 200 m avant la
passerelle sur la Loue.
Une autre passerelle nous amène à la
Source du Pontet
, également une
résurgence.
On grimpe encore un peu, une
échelle de fer et c'est la
Grotte des Faux Monnayeurs (on y fabriquait de la fausse monnaie au
17e). A la sortie,
une bande de Spounsz
de chez Spounsz nous barre la route, pas un ne nous laissera passer JP et moi, faudra forcer le passage !
En vue de Mouthier, une petite pluie nous fait sortir les
capes, mais c'était juste pour faire peur.
Midi pile au car qui nous attendait grâce à Christian qui s'était
sacrifié en ne visitant pas le Pontet
et les Faux Monnayeurs.
Midi et demi à la Ferme-Auberge "le Besongey", où nous accueillent
Sylvie et Daniel.
A table, il y a comme une difficulté de décalage, mais on y arrive quand
même.
On croyait que le leitmotiv du séjour allait être "marchez bien
et suez bien", mais non, c'est "mangez bien et buvez bien".
En voici la preuve.
Kir pêche et cassis, et le "pêche" est bissé.
Jambon à la couenne et gratin de pommes de terre bien "craquantes",
malgré la quantité, on n'en laisse pas miette.
Sur le plateau de fromages, il y a un "Crémeux du Jura"
à consommer à la paille et qui ne fera pas long feu.
Quant au dessert, le film de Bernard rendra mieux l'ambiance que
^^^^^
15h, après ce repas mémorable, c'est la visite de l'étable et de la
grange à foin. Puis on est emmené au point de départ de la balade
en
bétaillère !
Indescriptible !!!
Si vous pouviez voir la gueule des vaches !
Les vaches elles-mêmes en sont ébahies, elles n'ont jamais vu ça !
Après la crise de fou rire, revenons à la réalité, on est là pour
marcher quand même un peu.
15h40, on grimpe au
Crêt Monniot
1 (1141 m) du haut duquel le panorama
est aujourd'hui limité par les nuages. Le long de cette montée,
il y avait une clôture électrique. Claude à pu ainsi apprécier ma
poignée de main droite particulièrement énergétique (j'ai bien dit
énergétique) car j'avais en même temps la gauche sur
le fil électrique. Hi-hi !
Descente vers les Œillettes – où Muguette
récoltera de nouveaux bleus – puis on fait le tour du Crêt via le bois
du Laizeret.
Bande d'iconoclastes, au lieu de s'instruire avec les
panneaux
du sentier découverte, ça chante "La digue du c.." !
De retour
au car
après une heure de balade.
Et il était temps, 20 mn après il
pleut, mais l'harmonica de
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