J. 11 | Le tour de Lanserlia - 2909 m (déniv+ 1000 m) |
Ö Þ |
![]() 8h20, le car nous dépose au parking de Bellecombe - 2307 m - et nous prenons le GR5. A la ravine du Piou, on part en hors piste. Passons devant quelques dolines (effondrement de terrain qui produit un cratère souvent rempli d'eau). ![]() 9h30, le parking est déjà 300 m sous nos pieds. 10h au Col de Lanserlia, 2774 m. 10h30, 2790 m, une Anémone printanière (oui, j'ai bien dit ![]() Les 3 lacs de Lanserlia, très jolis. 10h40, 2835 m, dernière pause avant le col et le sommet. 10h50, un petit col qui surplombe le Plan du Lac et le parking. ![]() 11h au sommet de la Pointe de Lanserlia. C'est la séance photo. Ça mitraille à tout va et c'est la bagarre car on se gène l'un l'autre. On est quand même 27 là haut. Pourtant, malgré la belle vue, on est tous pressé de redescendre. Le vent glacial qui souffle doit y être pour quelque chose. Oh les vilains, y m'font des misères, y m'ont piqué mon bâton. Mais je trouve le coupable au cours de la descente et lui accorde ![]() 11h30, 2724 m, pause casse-croûte à l'abri du vent et au soleil. « Oh, put... de bord.. ! », c'est Danièle qui dit ça je ne sais plus pourquoi. On en est outré, et je le rapporte. ![]() 12h20, on était bien pour démarrer la sieste, mais Yves nous propose d'y aller, on trouvera mieux dit-il. Claude voulait du pierrier, et bien en voilà un, et un beau. 12h36, halte observation chamois au-dessus de nous. ![]() 12h50, 2560 m, Yves nous offre la pause sieste sur l'herbe, plus confortable que dans le pierrier. Pas facile de dormir avec tous ces bavards. En plus, le Grand Roc Noir fait suspense ; se découvrira-t-il ? Il aura eu du succès auprès des photographes 13h25, finie la super sieste sous le Grand Roc Noir, on se remet en marche. Une dernière descente, puis c'est un long sentier balcon au-dessus du Vallon de la Rocheure et ![]() 15h, après un bon vin chaud - qui faisait moult tasses, hips ! - on repart vers la falaise du Doron de Termignon. Séquence "équine", tout le monde est entouré par les chevaux affamés. Y en a même un qui veut absolument manger la manche de ma veste. En longeant les falaises qui surplombent le Doron, 2 hardes de chamois en contrebas. Le canyon est vraiment impressionnant. Revenons ensuite sur le plateau et descendons vers le car où Bruno nous attend. Il est 16h40. Grosse discussion au sujet de la dénivelée qu'on aurait faite. Mon altimètre donne 1550 m ce qui paraît énorme et peu probable. Christian, lui, a 1300 m, ce serait plus juste. En fait, même en décortiquant à fond le circuit sur la carte, je n'arrive pas à dépasser les 1000 m, et encore. On aurait donc eu tous les deux un problème de cumul à l'altimètre. Au dîner : taboulet, poulet basquaise et tomates farcies. En soirée : projection sur les bouquetins. |